les defenseurs

Abidal

Eric Abidal a rendez vous la semaine prochaine avec les Bleus, et pour l'occasion, il a invité la presse à son hôtel pour partager sa satisfaction...

"C'est le travail qui paie, j'étais déjà très content d'être pré-sélectionné, et être dans la liste définitive, ça ne peut être que bénéfique ! Mais rien n'est acquis, il faudra continuer à travailler, avec l'OL d'abord, et si ça se passe bien en club...
Nous serons 5 Lyonnais, ce sera plus facile, et puis il y a des Monégasques avc qui j'ai joué. Après si chacun y met du sien, ça ne peut que bien aller.
L'équipe de France, ça ouvre toujours des portes. Ce sera écrit "International Français sur mon CV" ! Reste à confirmer, et à faire comme les grands... 90 - 100 sélections... Et on pense à la Coupe du Monde forcément..."

Berthod

Champion du Monde des -17ans il y a deux ans, Jérémy Berthod est l’un des espoirs les plus prometteurs de l’Olympique Lyonnais. Depuis son arrivée à Lyon, à l’âge de 12 ans en provenance de Chazay D’Azergues, le jeune Gone s’est fait un nom. Et un statut. Celui de champion du monde, rien de moins. Il faisait, en effet, partie de l’équipe de France des moins de 17 ans, celle des fameux Sinama-Pongolle, Le Tallec ou encore Faty. Depuis cette fabuleuse épopée, il a fallu à Jérémy assumer et confirmer ce statut particulier. "Même si j’étais un peu timide lors des premiers mois suivant mon arrivée à l’OL, je me suis rapidement affirmé et l’on m’a vite responsabilisé. " Au point d’avoir été désigné capitaine dans toutes les équipes où il est passé. Un signe qui ne trompe pas. Et l’on comprend alors mieux pourquoi le club champion de France a décidé de lui faire signer un premier contrat professionnel de trois ans.
"Cette proposition me fait évidemment plaisir, c’est la concrétisation de mes efforts. Mais ce n’est qu’un début. De toute façon, on ne parlera de moi que sur la durée. "
Reste désormais pour Jérémy à découvrir les joies de la L1, à l’instar de ses coéquipiers champion du monde avec lui il y a deux ans. "J’espère que ce sera pour cette saison ", concède-t-il simplement.

Caçapa

Arrivé un froid matin d’hiver 2000 à Lyon, pour un prêt de 6 mois, Claudio Caçapa a vite réchauffé l’atmosphère de sa bonne humeur, et convaincu le staff technique, ses coéquipiers et le public de Gerland que sa place était effectivement au sein de la défense olympienne.
Solide à son poste, Claudio n’hésite jamais à créer le surnombre offensif. Les supporters de l’OL ont d’ailleurs tous encore en mémoire son but au Stade de France en Coupe de la Ligue contre Monaco, et cette rage de vaincre qui l’a emporté jusque dans les cages monégasques.
Garçon chaleureux, le sourire toujours vissé aux lèvres, Claudio a aujourd’hui bien trouvé ses repères à Lyon, entre le Parc de la Tête d’Or, la cuisine lyonnaise et le stade Gerland.

Cris

Le 28 août 2004, Christiano Marques Gomez Cris débutait sa carrière lyonnaise contre Lille. Gerland découvrait « le Gendarme » (surnom attribué par Essien), un sacré défenseur mes aïeux. 24 matchs en intégralité, 2 buts en Champions League (Manchester et Fenerbahce), 6 cartons jaunes (Lille, Monaco, St-Etienne, Manchester, Fenerbahce, Viry-Châtillon) ; des notes attribuées par le quotidien l'Equipe allant de 5,5 à 7 avec une majorité de 6. Autant dire que l'international brésilien fait l'unanimité. Il est même le leader des étoiles pour France Football. Quant à sa réputation de joueur méchant, ses 14 fautes sanctionnées en 17 rencontres de championnat prouvent que les réputations ne sont pas toujours fondées! Même s'il aime aller au mastic... Et si vous lui demandez combien de fois l'arbitre l'a pénalisé contre Metz ou Sochaux... il le sait: "0 contre Metz et 0 à Sochaux". Incroyable, mais vrai.

Diatta

Lamine Diatta, le défenseur international sénégalais était au repos ce matin. A quelques jours d'un déplacement important à Ajaccio, sous une pluie fine et froide, il nous a accordé quelques instants. Juste le temps de lui poser 3 questions.

Le parcours OL ? Tout s'est bien passé jusqu'à présent. La défense tient bon; on encaisse très peu de but, ce qui fait parti de nos objectifs défensifs. Nous avons eu des débuts difficiles Cris et moi; ce n'est pas évident de remplacer Captain Claudio (Caçapa). Notre complicité vient au fil des matchs et nous commençons à bien nous entendre. D'ailleurs, cela ne nous a pas trop perturbé pour autant car la défense a tenu le choc.
En début de saison, je ne m'attendais pas du tout à jouer dans l'axe; j'ai été surpris et content à la fois de le faire. C'est un bon début, pourvu que cela continue dans ce sens.

La recette ? Il n'y a pas de recette, mais un esprit de groupe très solidaire. Devant comme derrière on s'entraide et on s'entend très bien. Dans ce groupe, on n'hésite pas à faire l'effort pour le copain et tout cela dans un seul et unique objectif : aller de l'avant. Cela fonctionne bien, nous réalisons de bons matchs et nous obtenons des résultats. Cela, malgré le fait que le groupe ait connu pas mal de changement cet été.

Axe ou couloir ? Le coach fait son choix. Moi, axe ou couloir cela ne me dérange pas. Je joue là où on me dit de jouer et aujourd'hui je me sens bien dans le groupe... c'est ce qui m'importe.

Monsoreau

Sylvain Monsoreau a passé la journée presse de Tignes à beaucoup observer ses coéquipiers face aux médias. Il promène sa longue silhouette sur la terrasse de l'Hôtel Montana, se prête au jeu des photos, puis se dirige vers les micros, sourire aux lèvres.
"Normal, l'intégration est facile ici. Je connaissais pas mal de mes coéquipiers pour les avoir rencontrés sur différents terrains, et deux anciens sochaliens sont ici, des amis qui plus est. C'est un groupe qi montre toutes ses qualités humaines. Il y a beaucoup de vie, ça chambre beaucoup. Mais surtout il n'y a pas de clans, tout le monde parle ensemble, rigole ensemble. Et quand on est nouveau, quand on n'a pas de repères, c'est appréciable."
La station savoyarde de Tignes semble parfaitement se prêter à l'intégration des nouveaux, des activités différentes, la vie de groupe pendant huit jours...
"C'est vrai, ici en altitude, on découvre ensemble une autre façon de travailler. On pratique d'autres activités, du vélo..."
Bref, tout va bien pour le néo-Lyonnais ?
"Pour l'instant... J'ai entendu parler d'un col à monter en VTT ce week end, il va falloir se préparer en conséquence !"

Reveillere

Depuis son arrivée à l’O.L. il y a un an, Paul Le Guen a toujours suivi attentivement l’évolution d’Anthony Réveillère. Prêté pour 6 mois au FC Valence en milieu de saison dernière, le jeune international a été de nouveau sollicité par l’O.L. lors de cette intersaison et il s’est laissé séduire par l’aventure lyonnaise : « On s'était un peu raté avec l'OL l'an dernier, j'étais parti sous d'autres cieux, mais j'avais très envie de jouer à l’O.L. et de revenir dans le championnat français ».
Aujourd’hui Lyonnais, Anthony, qui a débuté sa carrière à Rennes sous les ordres de Paul Le Guen, n’aspire plus qu’à faire ses preuves chez les champions de France, et rêve de la Ligue des Champions dont il a disputé les 1/4 de finale l’an dernier: « L’OL est le meilleur club en France actuellement mais j’espère que nous pourrons également briller au niveau européen ».
Polyvalent puisqu’il peut jouer aussi bien latéral droit que gauche, Anthony Réveillère vient compléter la jeune garde lyonnaise et il sera certainement une des pièces maîtresses du dispositif lyonnais.

Comments

[la miss]

Salut il est bien ton blog n'hésite pas à venir visiter le mien entièrement consacré à Anthony Le Tallec et laisse moi un ptit comms si tu as le temps!!!!!

A bientot

La miss

http://anthonyletall01.skyblog.com